La période récente a changé bien des choses en particulier pour les petites et moyennes entreprises qui ont dû parfois à marche forcée se convertir à des organisations du travail différentes et à jongler sur de nouveaux outils d’infrastructure, de nouveaux logiciels permettant de continuer à exercer l’activité de l’entreprise.  

Dans ce vaste changement, les PME et TPE ne sont pas seules et le gouvernement a mis en place dans le cadre de France Relance un vaste programme d’aide de 40 milliards d’€ de manière directe ou indirecte. Ces fonds vont permettre à ces entreprises d’engager leur transition vers le numérique, de renforcer leur capacité d’innovation, d’accélérer leur développement ou de recruter de nouvelles compétences. Un des objectifs du plan est de numériser 1 million de TPE d’ici la fin du quinquennat. 

Les PME/TPE en première ligne 

Selon le Syntec Numérique, Les TPE/PME sont la cible de 77% des cyberattaques. Cybermailveillance.gouv.fr a enregistré une augmentation de 400 % d’hameçonnage ​la première semaine du confinement​, ainsi qu’une augmentation de plus de 400% de l’utilisation de ses services.  

Parmi les principales demandes d’assistance des entreprises sur cette plateforme, on retrouve le piratage de leurs systèmes informatiques (19%), les attaques par rançongiciels (17%) et le piratage de comptes en ligne (10%). ​ En avril 2020​, Google avait également constaté plus de 18 millions d‘attaques de logiciels malveillants et tentatives d’hameçonnage quotidiens liés au COVID-19 à travers le monde. Pourtant suivant cette institution deux tiers des entreprises françaises considèrent que le risque de cybermenace dans leur entreprise est peu ou pas important.  

Le coût des cyberattaques visant les TPE/PME est évalué à 700 millions d’euros par an. Selon le cabinet d’assurance professionnelle Hiscox, les petites entreprises de 10 à 49 salariés semblent particulièrement sensibles à la vulnérabilité des serveurs ou au piratage d’identifiants (mentionnés par 41% de ces entreprises contre 37% en moyenne) 

Les petites entreprises sont les plus touchées, en ce qui concerne le montant des pertes proportionnellement à la taille de l’entreprise. Pour les micro-entreprises de moins de 10 salariés, le coût médian de l’ensemble des attaques cette année 2021 était tout juste supérieur à 7 273 €.  

Certaines entreprises ont essuyé des pertes de 280 000 €. Parfois, les conséquences sont encore pires : une entreprise de services allemande a subi des failles représentant un coût de 430 909 € par salarié. 

La sécurité : un investissement d’avenir 

Les dirigeants des PME/TPE ont souvent l’emploi, les résultats, la pérennité de leur activité comme priorités et ont tendance à  délaisser la cybersécurité alors que l’objectif de performance est grandissant et que ce dernier ne peut être atteint sans infrastructures IT solides et sécurisées. La meilleure des options pour une entreprise reste l’investissement dans une solution de sécurité qui correspond à son besoin.  

Une option qui semble prise à la légère puisqu’environ 80 % des PME et ETI en France n’ont pas de plan de sécurité pour faire face à des attaques robustes. Cette part vertigineuse est également celle des entreprises qui risquent la faillite 3 mois après un incident cyber… 

Les dirigeants de petites entreprises doivent changer de vision et prendre conscience que la cybersécurité est une véritable opportunité de développement, car celle-ci leur garantit, entre autres, un niveau de compétitivité constant, une certaine souplesse d’organisation et, de manière générale, une plus grande sérénité. Une étude de l’IFOP pour le compte de F-Secure, un éditeur finlandais de solutions de sécurité indiquait en mai dernier que l’on était loin du compte face à ces enjeux.  

Un peu plus de 6 professionnels sur 10 ont investi ou envisagent d’investir moins de 1 000 euros dans la sécurité informatique, toutes briques confondues (IoT – antivirus – sécurité des postes de travail). Seuls 46 % des professionnels ont investi dans la sécurité de leurs postes de travail. Mais l’antivirus ne fait pas tout et n’assure pas une protection globale de la TPE/PME.  

Les petites entreprises sont souvent peu sensibilisées aux risques qui accompagnent une cyber-attaque, et considèrent que la protection des SI est un enjeu moindre pour elles puisque leur notoriété, moins importante que de grandes entreprises dont la presse évoquait encore récemment les déboires, ne fera pas d'elles la cible des hackers. 

Des solutions pour dépenser selon ses moyens 

Il existe cependant des solutions pour se protéger sans dépenser des milles et des cent et pour se prémunir d’un véritable risque. Il ne s’agit pas non plus de seulement s’en laver les mains avec une externalisation qui conduirait à une perte de contrôle sur ce qui fait partie de la richesse de l’entreprise : les données. 

Wooxo permet ainsi de se protéger des principaux dangers liés à la cybercriminalité sans demander un investissement important et propose un pack complet pour la cybersécurité des PME sous forme d’appliance et de services associés, qui permet de sécuriser toutes les données et de les restaurer rapidement en cas de sinistre. Il s’agit de garantir la disponibilité de tous vos serveurs, postes fixes, PC portables et ordinateurs en télétravail de façon systématique. 

Vous avez la possibilité de sauvegarder en local et/ou en externe sur des datacenters français ou sur une seconde appliance. Dans le cas d’un stockage en local, l’accès à vos informations est immédiat et le temps de restauration ne dépend pas de votre débit Internet. Votre appliance présente une sécurité maximale contre les risques fréquents d’incendie, de vol, de chute et d’effraction. 

De plus un antimalware prédictif, doté d’intelligence artificielle, prévient des cyberattaques passées et à venir. 

Un investissement pas conséquent mais qui évite bien des conséquences !